Meaghan is back !

**Meaghan J. Owsley** Messages : 23 Date d'inscription : 10/02/2010

Meaghan Jewel Owsley

18 ans

origines cubaines

serveuse au N#38

célibataire/~~en couple~~

durée depuis laquelle je suis à l’hôtel N#38 : jusqu'à ce que je trouve un autre job

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My amazing life.

Je suis Meaghan, ou plutôt Meaghan Jewel de mon nom complet, je suis née à Cuba un 24 décembre d'un père mexicain et d'une mère espagnole. Mes parents furent les plus heureux du monde d'avoir pour cadeaux de Noël une charmante petite fille. Je ne fus pas fille unique, j'avais un grand frère, Damen, qui avait quatre ans de plus que moi. J'eus une enfance très heureuse en compagnie de mes parents et de mon grand frère que j'aimais beaucoup. C'était une famille très unie qui me donnait beaucoup d'affection et j'adorais ça. Mais un drame vint gâcher ma vie qui avait pourtant si bien commencée. Quand j'eus huit ans, j'appris que mon père était mort à son travail. Il était chargé de s'occuper d'une fête, une fête qui se termina très mal et il y eut trois blessés et deux morts dont mon père. Je n'en su pas plus, ma mère refusait toujours d'en parler. Toute la famille vécue très mal cet incident, surtout mon frère qui était très sensible au fond, il enchaîna bêtises sur bêtises. Un jour, lorsque j'avais onze ou douze ans, je ne sais plus vraiment, mon frère partit sans explications, il laissa juste une lettre où il disait qu'il avait besoin de s'éloigner un peu pour mieux faire son deuil. Ma mère et moi furent effondrées quand nous lurent cette lettre. Je fus très déçu de l'attitude de mon frère, j'avais vraiment besoin de lui, je n'avais plus de père alors il était important pour moi, mais il était parti lui aussi. Mais la vie continua et ma mère deux fois plus afin que je ne manque de rien, elle voulait que je sois heureuse malgré le départ de son frère et de son père. Mais j'aurais préféré qu'elle reste avec moi à la maison pour me donner un peu de tendresse. Je fus très marqué par tout cela, mais je m'efforçais d'être une jeune fille souriante et heureuse pour que ma mère ne s'inquiète pas pour moi, elle avait le droit d'être heureuse elle aussi. Je travaillais bien à l'école et dès que j'avais fini les cours j'aidais sa mère à la maison. A l'âge de dix-sept ans, j'arrêta les études afin de pouvoirs aidé ma mère financièrement. Mais j'eus beaucoup de mal à trouver des petits job. Entre temps, mon frère était revenu à la maison, je lui demanda quelques explications, mais il eut à peine le temps de répondre que la police frappa à la porte avec un mandat d'arrestation pour trafic d'armes. Il fut envoyé en prison et je me sentit une nouvelle fois abandonnée. Un jour, je vus une petite annonce comme serveuse à Sydney, le salaire était correct et c'était l'occasion pour moi de recommencer une nouvelle vite. Alors, je n'hésita pas et fit mes bagages.

What about the game ?

Quand je suis arrivée ici, j'étais très heureuse. Cet hôtel, c'était pour moi l'occasion de reprendre ma vie à zéro, de plus, Sydney est une ville qui me faisais rêver depuis très longtemps. Mon boulot de serveuse me plais, ce n'est pas vraiment le travail dont je rêvais, mais bon, je n'avais pas d'autres choix. Ma mère me manque beaucoup, je lui écris et lui téléphone régulièrement, elle sait que si je suis ici c'est pour l'aider financièrement alors elle fait semblant d'être heureuse, mais je sais bien qu'elle se sens seul. Dès que j'en aurais l'occasion, je partirais d'ici pour rentrer à Cuba, mais pour le moment je suis bien ici, alors je pense rester encore un moment. De plus, j'ai fais des rencontres. Je suis très proche de Jaizlynn, une fille très sympa. Je suis aussi tombée amoureuse d'un garçon, Charlie, mais même si je n'arrive pas à lui refuser quoi que ce soit, je sais qu'il se sert de moi. Ma vie ici n'a rien avoir avec celle que j'avais à Cuba, les gens ne sont pas pareils ici. Ici, c'est comme dans un rêve, j'ai enfin réussie à oublier mon père et mon frère. Je me sens bien, je me sens libre. Je ne regrette pas d'être venue ici, même si certains clients me tapent parfois sur les nerfs

Because behind the character, there is a person.

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