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dont.wanna.be.torn ▬ satine belle lovàleen grâce locksley

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AuteurMessage
Satine B. Locksley
Satine B. Locksley



Messages : 9
Date d'inscription : 30/01/2010

« admirablement séduisant »
« situation amoureuse »:
« ma vie amoureuse »:
« ce que j'aime le plus chez toi »:

dont.wanna.be.torn ▬ satine belle lovàleen grâce locksley Vide
MessageSujet: dont.wanna.be.torn ▬ satine belle lovàleen grâce locksley dont.wanna.be.torn ▬ satine belle lovàleen grâce locksley Icon_minitimeSam 30 Jan - 17:24


SATINE BELLE LOCKSLEY

dont.wanna.be.torn ▬ satine belle lovàleen grâce locksley 2m2ufkh
© Trycia; feat Vanessa Hudgens
    ♦️ 19 ans.
    ♦️ Origines Françaises et Australiennes.
    ♦️ Etudiante en Droit.
    ♦️ En couple avec Jules V. Parker.
    ♦️ Depuis un mois à l’hôtel N#38


PLAY NOW.

My amazing life.

dont.wanna.be.torn ▬ satine belle lovàleen grâce locksley Vanessa1yp2
"I am who I am. No excuses.
But I'd like other people to know
that there's a lot more to me
than just some studying girl
."

satine belle locksley


    Je n'ai jamais aimé parler de moi, à vrai dire ça me met mal à l'aise. Les gens se permettent de vous juger, de vous railler pour des choses que vous n'avez pas toujours voulues et je trouve cela mesquin et bas. Mais rassurez-vous, je ne suis pas du genre à me laisser marcher sur les pieds et quand cela arrive, je n'hésite jamais à remettre les petits fauteurs sur le droit chemin. Avec plus ou moins de délicatesse car j'ai beau être une très gentille fille, il m'arrive tout de même de m'énerver parfois et généralement, ça peut faire mal. Très mal. Enfin bref, passons.

    Je possède la double australienne et française et pour cause, mes parents le sont tous les deux. Enfin l'étaient. C'est compliqué. Comme tout ce qui les concerne en fait. Je n'ai jamais compris comment ils ont bien pu tomber amoureux et surtout rester deux ans ensembles, cela me paraît bien trop étrange et pour cause : mon père est un homme vraiment très froid et pas vraiment le genre d'individus avec lequel on aime avoir le moindre rapport. Il est très riche, oui c'est vrai, mais il fait parti du monde de l'ombre et de tout ce que cela comprend, si vous voyez ce que je veux dire. S'il existait une mafia australienne, je suis persuadée qu'il en serait le parrain ! Après tout, il adore son petit monde fait de trafics en tout genre et de subordonnés à sa botte. C'est à peine si je le connais. C'est à peine s'il me reconnaît mais comme je suis sa seule fille, son seul enfant en fait, je suis un peu comme son héritière ce qui fait que j'ai les mains liées et il me l'a déjà bien fait comprendre. Enfin, bref, évitons de parler tout de suite des sujets qui fâchent, d'accord ? Je n'ai d'ailleurs pas grandie avec ce dernier mais avec ma mère en France, à Paris la ville des amoureux. Ou pas. J'étais la bonne copine, la première de la classe, celle qui est toujours là pour aider les autres mais qui ne se laisse pas passer la corde au cou. Il faut dire que je suis d'une nature assez indépendante et que j'ai toujours refusé de m'engager avec qui que ce soit s'il n'y avait pas un minimum d'attachement réciproque. Aussi, les quelques rares petits amis que j'ai eu, je les ai gardé longtemps et je n'ai jamais mal vécu mes périodes de célibat. Cela me laissait en effet plus de temps libre pour être avec ma mère. Ah, ma mère, la personne que j'aimais probablement le plus au monde. Elle et moi... c'était plus que fusionnel. Ne vivre que toutes les deux – sans homme plus qu'elle ne s'était jamais remise avec un autre depuis le divorce avec mon père – nous avait plus que rapprochée, si bien que nous n'avions absolument aucun secret l'une pour l'autre. Liées comme les doigts de la main, j'en venais même à travailler dans son petit café à Montmartre et j'ai tout un tas de souvenirs merveilleux en mémoire liés à cet endroit que je n'ai pas revu depuis près de deux ans maintenant et qui me manque à un point tel que je donnerai tout ce que j'ai ou presque pour le revoir ne serait-ce qu'une seule fois. Et oui, cela fait des années que je n'y suis pas retournée et pour cause, quand j'avais seulement dix sept ans, ma mère est morte dans un tragique accident de voiture. Je l'ai très mal vécu à l'époque et pour vous dire, aujourd'hui encore la blessure n'est pas encore totalement refermée et j'ai du mal à aborder le sujet sans me braquer. Il faut dire qu'il paraît que j'ai un sacré caractère qu'il faut prendre avec des pincettes. Mi-Ange Mi-démon, comme elle, elle me le disait : d'un coté, une gentillesse sans borne qui me pousse à toujours sourire, à l'altruisme ou même tout simplement à être une présence pour ceux qui en ont besoin, une douceur pour ceux qui en manque et de l'autre, la vivacité du feu et sa dangerosité aussi. Ne pas me provoquer ou en subir les douloureuses conséquences. Enfin bref, tout ça pour vous dire qu'après le décès de cette dernière, je fus contrainte à partir en direction de l'Australie pour rejoindre ce géniteur que je n'avais tout bonnement jamais connu et autant vous dire que le courant ne passa pas. Je vivais sous le toit d'un étranger et je n'arrivais pas à m'y faire si bien que plutôt que de tenter de chercher du réconfort auprès de ce dernier, je m'enfonçais dans mes études. Des livres, encore et encore. Et quand ce n'était pas des livres, c'était la pratique assidue de la langue anglaise que je parle couramment aujourd'hui même s'il paraît que j'ai toujours ce petit accent français tout au fond de la voix.

    Je suis arrivée première à l'obtention de mon diplôme et c'est donc sans la moindre surprise pour mes professeurs que j'ai rejoint la meilleure école de droit de tout le continent. J'ai toujours voulu devenir avocate pour pouvoir aider mon prochain. Je déteste l'injustice et je suis toujours la première à me dresser face à l'injustice, à ouvrir ma grande bouche comme on me le disait quand je n'étais pas d'accord avec quelque chose, ornant chacune de mes pensées avec une réflexion percutante et raisonnée. Une vraie petite magistrat avant l'heure. Comme quoi, le droit coulait déjà dans mes veines. Et dans mon cœur aussi. En effet, c'est à l'université que j'ai rencontré Jules qui était censé être mon mentor. Et de fil en aiguille, nous en sommes venus à sortir ensembles. Mon petit ami est essentiel pour moi, je ne peux pas imaginer ma vie sans lui mais depuis quelques temps, il y a comme un hic qui me pousse à prendre mes distances avec lui. Je ne saurais vous dire pourquoi ni comment mais aujourd'hui, il m'arrive de le voir... comme un frère. Peut-être que c'est cette rencontre qui a tout changé. Zane. La tentation incarnée. Je ne pourrais pas vous dire ce qu'il représente pour moi mais je... je ressens pour lui un trouble que je ne me rappelle pas d'avoir un jour ressenti, ou du moins pas depuis fort longtemps. Il m'hypnotise, il me captive comme le fruit défendu. Mais j'ai Jules. Et il est hors de question que je le blesse...
    Je... Je crois bien qu'entre le blond et le brun mon cœur balance...


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